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Le Salar d’Uyuni, une expérience emblématique au goût salé !

13 décembre 2023

Decouvertes

Son blanc immaculé n’est pas de la neige, ne vous y trompez pas, pourtant c’est bien en décembre que nous avons décidé de vous présenter celui qui ne se présente plus : l’incroyable Salar d’Uyuni en Bolivie !

Durant cette période, les températures restent fraîches, néanmoins il est tout à fait possible de découvrir cette immensité de sel, qui reste praticable sur l’ensemble de l’année. Alors, à vos appareils photos ! C’est le moment de faire les clichés les plus insolites mais aussi de capturer du regard les cactus géants et les zones d’extraction du sel.

Thaki Voyage sait qu’il n’est pas simple de s’attaquer à ce très populaire « monument » bolivien, tant il a été raconté. Mais nous espérons qu’à la lecture de cet article, vous prendrez déjà place à bord de notre jeep pour faire route vers un monde féerique et hors du commun ! Montez, c’est parti !

Mais comment s’est formé le Salar d’Uyuni ?

À peine arrivé sur place, vous voilà à 3 653 m d’altitude, scotché face à la plus grande réserve de sel au monde qui s’étend sur 12 106 km ! Comment percevez-vous cette mer de sel ? Si l’étendue d’un blanc éclatant ne se marie pas avec le bleu du ciel de l’Altiplano, cela signifie que le Salar est asséché, mais au contraire si le ciel se reflète dans le sol et que les nuages apparaissent sur la surface, c’est qu’il est chargé d’eau.

Mais d’ailleurs, comment s’est formé le Salar d’Uyuni ? Pour y répondre, il faut faire un long voyage dans le temps ! Il y a 40 000 ans une très grande partie du sud-ouest bolivien était recouverte d’un gigantesque lac, le Lago Minchín qui, une fois évaporé, resta sec durant 14 000 ans. Par la suite, un deuxième lac, le Lago Tauca, apparut. Après 1000 ans d’existence, ce dernier laissa place à deux plans d’eau, les Lago Poopó et Uru Uru, mais aussi à deux importants déserts de sel : les salares de Coipasa et d’Uyuni !

Pour la science, les minéraux provenant des montagnes sont à l’origine des dépôts de sel du Salar, mais pour la tradition aymara, sa formation n’existe que dans la légende de Tunupa, Tunupa étant la seconde appellation du Salar d’Uyuni. En effet, la naissance du Salar d’Uyuni proviendrait des larmes de la femme volcan Tunupa qui, à la perte de son bébé, ne put se consoler. C’est ses pleurs qui recouvrirent cette terre austère pour lui donner cette apparence cristalline.

De nos jours, quelle est la place du Salar dans la société bolivienne ?

Une fois que vous aurez pris connaissance de l’histoire de cet espace aride et salé, une question se pose : actuellement quelle est la place du Salar au coeur du territoire bolivien ?

Face aux zones d’extraction du sel, vous comprendrez que le Salar est un énorme centre d’extraction de sel, dont la production est estimée à environ 20 000 tonnes à l’année. Il faut savoir que 18 000 tonnes servent à la consommation humaine et que les dernières 2000 tonnes sont, quant à elles, dédiées au bétail.

Sous la surface se trouvent donc d’immenses gisements de lithium, de potassium, de  magnésium et de sodium et surtout à la surface, vous aurez sans doute remarqué des hôtels construits en sel, dont les meubles sont aussi faits de sel. De nombreux touristes y viennent pour vivre une expérience unique, cependant poser un pied dans le Salar est déjà en lui-même dépaysant !

Reconnu comme étant le site incontournable lors de votre passage en Bolivie, cette réputation est plus que méritée. Intégrez le Salar facilement au cours de vos circuits et notamment au départ de Tupiza pour découvrir le sud-ouest bolivien ! La région est assez isolée, il vous sera donc plus simple de compter sur une agence expérimentée et passionnée comme la nôtre !

Pourquoi choisir cette aventure avec Thaki Voyage ?

Que vous choisissiez de découvrir le Salar durant une excursion composée d’un groupe restreint ou bien qu’il soit la destination de votre lune de miel, Thaki Voyage vous promet un séjour inspirant et immortel, composé d’un programme exceptionnel !

Vous pourrez donc connaître le petit village de Colchani, ancienne fabrique de sel, mais aussi voir les cactus géants qui atteignent jusqu’à douze mètres de hauteur. Saviez-vous qu’ils constituent la seule flore qui pousse dans la région ? À ce propos, n’hésitez pas à relire notre article du mois de novembre sur la faune et la flore bolivienne ! De plus, vous verrez aussi les zones d’extractions de sel allant jusqu’aux geysers avec la frontière chilienne.

L’ensemble de la beauté de ce paysage nécessite un appareil photo qui vous permettra de laisser libre cours à votre imagination durant des mises en scène plus que farfelus, car le Salar d’Uyuni est connu pour ces clichés insolites. En outre, vous n’oublierez pas d’immortaliser, dans un calme olympien, le somptueux arc-en-ciel qui prend place lorsque le soleil se couche !

 Comme vous pourrez le constater, Thaki Voyage cherche le caractère unique dans ses périples pour vous faire partager l’authenticité de la Bolivie. Lors de votre visite du Salar d’Uyuni, vous apprécierez en notre compagnie, la douceur de vivre de cet espace. Nous serons là pour vous conseiller; néanmoins, notez bien qu’il vous faudra beaucoup d’eau, de la crème solaire, des lunettes de soleil et un chapeau pour vous protéger du soleil pendant les mois de juin à août. Des vêtements chauds seront utiles durant la saison sèche de mai à novembre et de quoi se couvrir vous sera indispensable lors de la saison des pluies, qui dure de fin décembre à mars. Durant cette période le Salar peut être recouvert d’eau, ce qui le rend encore plus envoûtant.

Maintenant que vous avez fini de lire et de rêver votre voyage, nous vous invitons à le vivre en rêvant ! De ce fait, contactez-nous pour organiser votre séjour en Bolivie ! Le Salar d’Uyuni est un incontournable lors de votre visite du pays, c’est pourquoi vous le retrouverez sur la plupart des circuits de Thaki Voyage. Ce trésor de la nature est l’un des joyaux de l’Amérique du Sud, qu’il vous faut avoir vu de vos yeux ! Sensation magique garantie, alors quand venez-vous nous voir ?!

Article par Mathilde Leroux.